They live
Non mais il faut quand même le dire.
Si, si, il faut le dire.
Parce que là, ça commence à suffire.
On atteint les limites.
Trop, c'est trop.
Faut vraiment arrêter avec ces réfugiés économiques.
Parce que bon, les Erythréens, j'ai rien contre. Les Syriens, c'est normal. Les Tamouls, d'accord. Les Kurdes, bien sûr. Les Kosovars, no problemo. Les Polonais, pourquoi pas. Les Portugais, y'a pas de lézard.
Mais là, même dans mon coin perdu, à plus de 60 km de la frontière la plus proche, on commence à être envahis par les Frouzes.
Ecrit par Absurdus, le Mercredi 19 Avril 2017.
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